DIVERS,NOUVELLES....

DEPOT DE PROJET DE LOI...
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2005/10/20/004-dpj-revision-rb.shtml

http://www.cyberpresse.ca/article/20060613/CPACTUALITES/606130751/5032/CPACTUALITES&cp_adsublabel=rss


BEN SI IL SARRENGERAIS POUR LAISSER LES ENFANTS AVEC LES PARENT,JE PARLE DES ENFANTS QUI NE MERITE DE SE FAIRE ENLEVER DES PARENT POUR RIEN...IL AURAIS PLUS DE PLACE POUR LES VRAI ENFANTS EN DIFFICULTÉ!

http://www.lino.com/~raiddat/DPJ-enleve-ma-fille.html


VOILA LE MENTAL DE LA DPJ...CE NE SONT PAS DES CENT WATT!

http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2329

LA DPJ HEUM!PAS FORT!

DEJA L'ERREUR EST HUMAINE IMIGINEZ VOUS UN ROBOT

http://www.radio-canada.ca/actualite/decouverte/reportages/2001/01-2001/dpj.html

Comme la DPJ nous fait vivre à nous les parents, les enfants de l'aliénation parentale à outrance comme le fait une ex-conjointe lorsqu'elle ne veut plus voir l'ex dans le décor et que les fausses accusations fusent de toutes parts pour nous rayer de la vie de nos enfants, un boycottage de tous les avocats spécialisés en jeunesse est déjà en branle dans la grande région de Québec et je souhaite, à titre de père qui n'a jamais rien fait à ses enfants, que le autres régions du Québec emboîtent le pas et qu'il y aura une enquête publique indépendante sur le fond contre la DPJ.

Si les enfants avaient pu monter sur les ponts pour revendiquer à juste titre le droit de voir leur père, leurs parents et leurs grands-parents, on aurait manqué de ponts au Québec!

La situation des grands-parents n'est pas plus drôle car comme la DPJ vise l'adoption, ils risquent de ne plus revoir leurs petits-enfants.

Notre situation est identique à la vôtre sauf que dans notre cas, l’ex conjointe, c'est le système totalitaire et antidépéjien de la DPJ.

Une psychologue tout ce qu'il y a de plus féministe ainsi qu'une avocate en droit familial ont dit qu'une fois les enfants passés entre les mains de la DPJ, ce n'était pas facile de retricoter une famille...

Donc, soyez avisés du boycott à l'endroit des avocats spécialisés en jeunesse en espérant que les Barreaux du Québec se penchent sur leur travail en Chambre de la Jeunesse car plusieurs disent se battre contre la DPJ depuis des années et, arrivé devant le juge, ils perdent la voix....d'autres nous disent la même chose jusqu'à ce qu'on découvre qu'ils sont familles d'accueil, d'autres nous demandent $20,000 mais nous disent qu'ils ne sont pas certains de nous redonner nos enfants.

Les avocats ne veulent plus nous représenter parce qu'on n'a pas fini de payer le $2000/jour pour leur présence à la Cour où, comme le soulignait un enquêteur de la Commission des droits "ça ne parle pas fort, fort..."

Donc, si on ne peut payer le $2,000, il faut prendre un nouvel avocat et conter à nouveau notre histoire...

La DPJ prétend gagner 90% de ses causes ce qui devient payant pour un avocat qui tombe dans la procédurite aigüe...et qui a d'autres clients dans la même situation...

Deux profs de droit et chercheures de renommées internationales, Julie Desrosiers de la Faculté de droit de l'Université Laval et Lucie Lemonde, des Sciences juridiques à l'UQAM, ont affirmé que 90% des enfants ne devraient pas se retrouver en centre jeunesse et que de ce 90%, les 2/3 étaient des filles.

Il est maintenant connu que des centres comme l'Escale de Cap-Rouge, sont des lieux de recrutement pour la prostitution juvénile féminine, on parle d'enfants de 12 à 18 ans...qui seront mis à la porte du centre à 18 ans avec 2 billets de bus et leurs sacs verts, n'ayant même pas l'adresse de leurs parents, la DPJ ayant coupé tout contact parce que les parents se sont plaints des sévices physiques, psychologiques et sexuelles qu'ont subi leurs enfants dans ces centres et dans des familles d'accueil.

De plus en plus d'enfants sont ainsi kidnappés légalement majoritairement dans les quartiers financièrement et politiquement démunis...La DPJ applique l'aliénation parentale à outrance ce qui crée chez les parents des émotions, des sentiments qui constituent la preuve que recherche la DPJ pour faire déclarer les parents inaptes...

Je ne vous parle pas ici du taux le plus élevé de suicide et de tentatives de suicide chez les jeunes;

Des 40% de ces enfants que la DPJ avec la complicité des tribunaux forcent à prendre des médicaments psychiatriques tel le Ritalin qui est comme le "speed" ou la cocaïne dans la rue et que le Sénat américain a obligé le fabricant à marquer sur son produit qu'il augmente l'agressivité et les idéations suicidaires. Quand la file pour les médicaments est plus longue que la file pour le dîner il y a un gros problème...

- Le Ritalin est défendu de prescription depuis plus de 40 ans en Europe...

http://fathers-4-justice.ca/portail/index.php?option=com_content&task=view&id=41&Itemid=72

http://www.centrejeunessedemontreal.qc.ca/dpj/pdf/demarche.pdf

L'ENFANTS QUI NE VAS PAS A L'ECOLE...ATTENTION.

http://espaceparents.canoe.ca/sante/mieux-etre/2007/06/12/4254871-pc.html

LA DPJ NEST PAS FACILE,TU DIT UN MOT ET IL LE METTENT EN ENVERS ALORS CEST POUR SA QUIL RETIENNE BEACOUP DE SIGNALEMENT..

http://publications.msss.gouv.qc.ca/acrobat/f/documentation/2007/07-838-02.pdf


VOUS ET LA DPJ...QUE DEVRIEZ VOUS SAVOIR...

CEST UN GRAND MOT DPJ-JEN AURAIS LONG A DIRE

http://www.desjardins.com/fr/particuliers/clienteles/generation_1824/sante_societe/jeunes_societe/la_dpj.jsp

TAPER DPJ DANS VOS RECHERCHE SUR GOOGLE ET VOUS AUREZ LE CHOIX DE BEAUCOUP DE SUJET....SA SERAIS TROP LONG POUR LES METTRE ICI...JAI MIS DES APERCU DE LA DPJ...

OCEANE73 a écrit:

[...]

La DPJ prétend gagner 90% de ses causes ce qui devient payant pour un avocat qui tombe dans la procédurite aigüe...et qui a d'autres clients dans la même situation...

[...]

Tu soulève plusieurs points très pertinents ici. J'ai repris celui qui me touchais le plus. En effet, dans mon cas ainsi que celui de mes «clients», c'est nous qui gagnons dans 100% de nos dossiers mettant en cause la DPJ et ses complices et ce, devant toutes les Cours jusqu'à ce jour.

La DPJ prétend gagner 90% de ses causes! HA! HA!

Positif!


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